A Laâzib il faut lever la tête vers le ciel pour voir le village perché sur les hauteurs. Autrefois, l'altitude constituait un refuge, une sécurité contre le danger qui arrivait habituellement par les plaines. Un village plus il est haut plus il est inaccessible donc il demeure à l'abri des incessantes prises d'assauts dont il était l'objet. Les villages d'antan étaient petits et discrets, les demeures faites à base de pierres et de terre associée au bois (frêne, olivier, chêne, roseau...) et la paille en guise de toiture. Souvent de petites cabanes que les premiers auteurs français qui ont sillonné la Kabylie décrivent dans quelques monographies.
Aujourd'hui les temps ont changé, la fierté de nos villages est visible à des kilomètres de distance.
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